Janvier 2017 - Le Choucas des tours
Ce mois-ci Caroline HOUALET nous fait découvrir le Choucas des tours.
Cet oiseau est habitant de Sautron bourg. De la taille d'un pigeon, il pourrait être confondu avec une corneille. A bien y regarder, son plumage est bien plus subtil. Certes, le noir y domine, mais le ventre est plus pâle et cou et tête sont en partie gris. Vu de près, son oeil est bleu.
C'est un oiseau sociable, qui se regroupe l'hiver pour aller chercher insectes limaces et escargots dans les prairies. Ils ne dédaigneront pas quelques déchets laissés après le marché (fruits, pain...).
Très tôt en saison, dès février, les couples vont se reformer. Il se dit que les couples sont fidèles pour la vie. Si vous levez la tête, rue de l'Eglise ou rue de Bretagne, vous devriez découvrir quelques couples, postés sur le clocher ou sur les toits. En avril, trois à cinq oeufs seront pondus dans un nid installé dans une cavité. Un trou dans un mur, le clocher ou une cheminée feront l'affaire. Après 16 à 17 jours d'incubation, les jeunes seront nourris pendant un mois. Ainsi, c'est en juin que les choucas seront le plus visibles en ville ; les familles pouvant être un peu plus bruyantes.
Sur Sautron, au moins 10 couples sont installés.
Comme ses congénères de la famille des corvidés, le choucas dispose de capacités d'apprentissage et déductives très étonnantes. Des chercheurs ont pu considérer qu'ils disposait des capacités d'un jeune enfant !
Alors, si vous croisez un choucas dans Sautron, soyez attentif, il pourrait bien vous étonner !
Cet oiseau est habitant de Sautron bourg. De la taille d'un pigeon, il pourrait être confondu avec une corneille. A bien y regarder, son plumage est bien plus subtil. Certes, le noir y domine, mais le ventre est plus pâle et cou et tête sont en partie gris. Vu de près, son oeil est bleu.
C'est un oiseau sociable, qui se regroupe l'hiver pour aller chercher insectes limaces et escargots dans les prairies. Ils ne dédaigneront pas quelques déchets laissés après le marché (fruits, pain...).
Très tôt en saison, dès février, les couples vont se reformer. Il se dit que les couples sont fidèles pour la vie. Si vous levez la tête, rue de l'Eglise ou rue de Bretagne, vous devriez découvrir quelques couples, postés sur le clocher ou sur les toits. En avril, trois à cinq oeufs seront pondus dans un nid installé dans une cavité. Un trou dans un mur, le clocher ou une cheminée feront l'affaire. Après 16 à 17 jours d'incubation, les jeunes seront nourris pendant un mois. Ainsi, c'est en juin que les choucas seront le plus visibles en ville ; les familles pouvant être un peu plus bruyantes.
Sur Sautron, au moins 10 couples sont installés.
Comme ses congénères de la famille des corvidés, le choucas dispose de capacités d'apprentissage et déductives très étonnantes. Des chercheurs ont pu considérer qu'ils disposait des capacités d'un jeune enfant !
Alors, si vous croisez un choucas dans Sautron, soyez attentif, il pourrait bien vous étonner !