Décembre 2016 - Le Blaireau
Ce mois-ci Caroline HOUALET nous fait découvrir le Blaireau.
Ce mammifère de bonne taille (6 à 20 Kg) est bien présent sur Sautron, mais fort peu connu, car de moeurs crépusculaires ou nocturnes. Reconnaissable à sa tête rayée noir et blanc, il ne peut-être confondu. Le Blaireau fait penser à un petit ours, un peu lourdaud, pourtant, ils sont plus proches des Fouines.
C'est un animal social et casanier. Son terrier, parfois centenaire, loge toute la famille, et même parfois les oncles et tantes...
Il a ses habitudes, et à la tombée de la nuit, prudemment, il sortira du terrier, pour parcourrir son domaine, à heures régulières et souvent par les mêmes chemins.
Omnivore opportuniste, il va surtout manger des lombrics, des gastéropodes et insectes, des amphibiens, des fruits, des tubercules et autres bulbes. Il ne dédaignera pas un cadavre trouvé sur le bord de la route.
L'hiver, avec le froid, il peut entrer en sommeil hivernal, mais il ne s'agit pas véritablement d'hibernation. Sur Sautron, il est actif toute l'année. En avril, les blaireautins, souvent de 2 à 3, commencent à sortir et à jouer à l'entrée du terrier.
Sur Sautron, le bocage encore dense avec des talus, les vallées de la Chézine et surtout du Cens, avec les nombreux ruisseaux sont favorables à l'espèce. Il peut aisément trouver des sites propices pour son terrier et pour trouver sa nourriture.
C'est une animal discret, inoffensif et bien sympathique. Levez le pied, si un soir vous avez la chance de croiser sa route. La voiture est son pire ennemi.
Ce mammifère de bonne taille (6 à 20 Kg) est bien présent sur Sautron, mais fort peu connu, car de moeurs crépusculaires ou nocturnes. Reconnaissable à sa tête rayée noir et blanc, il ne peut-être confondu. Le Blaireau fait penser à un petit ours, un peu lourdaud, pourtant, ils sont plus proches des Fouines.
C'est un animal social et casanier. Son terrier, parfois centenaire, loge toute la famille, et même parfois les oncles et tantes...
Il a ses habitudes, et à la tombée de la nuit, prudemment, il sortira du terrier, pour parcourrir son domaine, à heures régulières et souvent par les mêmes chemins.
Omnivore opportuniste, il va surtout manger des lombrics, des gastéropodes et insectes, des amphibiens, des fruits, des tubercules et autres bulbes. Il ne dédaignera pas un cadavre trouvé sur le bord de la route.
L'hiver, avec le froid, il peut entrer en sommeil hivernal, mais il ne s'agit pas véritablement d'hibernation. Sur Sautron, il est actif toute l'année. En avril, les blaireautins, souvent de 2 à 3, commencent à sortir et à jouer à l'entrée du terrier.
Sur Sautron, le bocage encore dense avec des talus, les vallées de la Chézine et surtout du Cens, avec les nombreux ruisseaux sont favorables à l'espèce. Il peut aisément trouver des sites propices pour son terrier et pour trouver sa nourriture.
C'est une animal discret, inoffensif et bien sympathique. Levez le pied, si un soir vous avez la chance de croiser sa route. La voiture est son pire ennemi.