Avril 2019 - La Buse variable
Ce mois-ci, avec Caroline HOUALET de l'association Sautron Nature, partons à la découverte de la Buse variable.
Le rapace le plus commun à Sautron est sans conteste, la Buse variable. C'est aussi le plus visible. De bonne taille, 50 cm de long pour 1m20 d'envergure, l'oiseau est massif et aime se poser bien en vue sur un piquet ou un pylone, à surveiller le moindre rongeur pour fondre dessus.
Comme son nom l'indique, son plumage est variable, allant du brun foncé au brun très clair, plus ou moins moucheté ou strié. Certains individus hivernant, venant du Nord de l'Europe peuvent être presque blancs. Très souvent, une bande plus claire barre la poitrine de l'oiseau.
Il est également facile de l'observer en vol, car la Buse aime à faire de longs vols planés circulaires permettant de l'observer à loisir.
À ne pas confondre avec la Bondrée apivore, dont un couple a fréquenté un temps Bongarant et la limite Nord Ouest de la commune.
À partir de février, les couples se forment et deviennent territoriaux. Ils pourront crier à l'approche du promeneur qui entre sur leur territoire. Le nid, construit en haut d'un grand arbre, chêne ou conifère, est un amas de branchettes assez informe. La femelle pond 2 à 3 oeufs fin mars-début avril, qu'elle couvera pendant 35 jours. Les jeunes quitteront le nid au bout de 45 jours. En juin, il est fréquent d'observer 4 à 5 Buses ensemble. C'est la famille au complet.
Comme tous les rapaces, la Buse est protégée. Sa population se porte bien. À Sautron, au moins 6 ou 7 couples sont installés.
L'espèce est un bon auxillaire pour l'agriculture, car son régime alimentaire est composé principalement de rongeurs de toutes sortes, campagnols, mulots et même rats.
Le rapace le plus commun à Sautron est sans conteste, la Buse variable. C'est aussi le plus visible. De bonne taille, 50 cm de long pour 1m20 d'envergure, l'oiseau est massif et aime se poser bien en vue sur un piquet ou un pylone, à surveiller le moindre rongeur pour fondre dessus.
Comme son nom l'indique, son plumage est variable, allant du brun foncé au brun très clair, plus ou moins moucheté ou strié. Certains individus hivernant, venant du Nord de l'Europe peuvent être presque blancs. Très souvent, une bande plus claire barre la poitrine de l'oiseau.
Il est également facile de l'observer en vol, car la Buse aime à faire de longs vols planés circulaires permettant de l'observer à loisir.
À ne pas confondre avec la Bondrée apivore, dont un couple a fréquenté un temps Bongarant et la limite Nord Ouest de la commune.
À partir de février, les couples se forment et deviennent territoriaux. Ils pourront crier à l'approche du promeneur qui entre sur leur territoire. Le nid, construit en haut d'un grand arbre, chêne ou conifère, est un amas de branchettes assez informe. La femelle pond 2 à 3 oeufs fin mars-début avril, qu'elle couvera pendant 35 jours. Les jeunes quitteront le nid au bout de 45 jours. En juin, il est fréquent d'observer 4 à 5 Buses ensemble. C'est la famille au complet.
Comme tous les rapaces, la Buse est protégée. Sa population se porte bien. À Sautron, au moins 6 ou 7 couples sont installés.
L'espèce est un bon auxillaire pour l'agriculture, car son régime alimentaire est composé principalement de rongeurs de toutes sortes, campagnols, mulots et même rats.